Fizahan-teny |
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Ohabolana : kiady | ||||||||||||||||||||||
Ohabolana | ||||||||||||||||||||||
Dikanteny frantsay | Être debout sans rien faire comme un épouvantail. [Houlder 1895]
Se dresser inutilement comme un poteau disant un interdit. [Veyrières 1913 #5710] | |||||||||||||||||||||
Fanazavana frantsay | Se disait souvent des gens pauvres et oisifs qui portaient de beaux vêtements. [Veyrières 1913] | |||||||||||||||||||||
Ohabolana | Mpanalo aho, fa tsy tompon' ny teny ; kiady aho, fa tsy tompon' ny saha. [Veyrières 1913 #3411] | |||||||||||||||||||||
Dikanteny frantsay | Je suis entremetteur et non pas maître de l' affaire ; je suis le poteau surmonté de paille qui garde et protège le champ et non le propriétaire. [Veyrières 1913 #3411] | |||||||||||||||||||||
Fanazavana frantsay | Paroles dites par les gardiens, les intendants et les chargés d'affaires. [Veyrières 1913 #3411] | |||||||||||||||||||||
Ohabolana | Natsangako kiady, nazerany, nalahatro vato, nakorontany, koa veloma ry tantely lava, masina ry tantely fohy, fa lany haika izaho havanareo. [Rinara 1974 #2771]
Natsangako kiady, nazerany ; nalahatro vato, nakorontany; veloma, ry tantely lava; masina, ry tantely fohy, fa lany haika aho. [Cousins 1885 #2097] | |||||||||||||||||||||
Ohabolana | Ny tsara sarotro tsy mba lena, ny tsara kiady tsy mba hanin' omby voly. [Veyrières 1913 #820, Cousins 1885] | |||||||||||||||||||||
Dikanteny frantsay | Celui qui est muni d' un bon capuchon n' est pas mouillé, celui dont la propriété est protégée par un bon poteau de défense n' a pas ses champs dévastés par les boeufs. [Veyrières 1913] | |||||||||||||||||||||
Fanazavana frantsay | On n' a rien à craindre quand on possède un bon protecteur. [Veyrières 1913 #820] | |||||||||||||||||||||
Ohabolana | Ny varavarana anton' ny trano, ny vavahady anton' ny vohitra ary ny kiady anton' ny saha. [Rinara 1974 #3358]
Ny varavarana no anton' ny trano, ny vavahady no anton' ny vohitra, ny kiady no anton' ny saha. [Veyrières 1913 #242, Nicol 1935 #17, Houlder 1895] | |||||||||||||||||||||
Dikanteny frantsay | La porte est la protection de la maison, le portail celle de la ville et de son fossé, le poteau de défense celle de la campagne plantée d' arbres. [Veyrières 1913 #242]
La porte garde la maison ; l’entrée du fossé garde le village; la borne rustique garde le champ. [Nicol 1935 #17] Sans portes il n' y a pas de vraie maison; sans portail, il n' y a pas de village; sans perche (de défense) il n' y a pas de champ. [Houlder 1895] | |||||||||||||||||||||
Fanazavana frantsay | Ce proverbe se disait à l' honneur du souverain, des seigneurs et des chefs de famille, représentés par ces comparaisons ; il signifiait aussi que chacun a son protecteur et son guide. [Veyrières 1913 #242]
Pour prendre possession d' un terrain, on y plante une perche avec une poignée d' herbe au bout, et c' est ce qu' on appelle un "kiady"; le "kiady", dans un champ ou sur un chemin, marque aussi une défense, et par extension, ce mot signifie: protecteur, bouclier, sauvegarde. [Houlder 1895] | |||||||||||||||||||||
Ohabolana | Raha papango no maty, | |||||||||||||||||||||
Ohabolana | Tsy miteny fa mahatahotra ohatra ny kiady. [Rinara 1974]
Tsy miteny ka mahatahotra, toy ny kiady. [Veyrières 1913 #693, Cousins 1885 #3552] | |||||||||||||||||||||
Dikanteny frantsay | Sans parole et cependant redoutable, comme le bâton surmonté d' une touffe d' herbe qui sert à marquer une défense ou une prise de possession. [Veyrières 1913 #693] | |||||||||||||||||||||
Fanazavana frantsay | Se disait des chefs qui ne parlaient pas, mais dont la présence suffisait pour mettre une affaire en train. [Veyrières 1913 #693] | |||||||||||||||||||||
Ohabolana | Voly vita kiady ka sarotra atao hitsin-dalana. [Rinara 1974] | |||||||||||||||||||||
Fizahan-teny |
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